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VASTE RASSEMBLEMENT
pour des
ACTIONS IMPRESCRIPTIBLES
2 rue Alexis Mossa 06000 NICE
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 | *FALLAIT-IL AIDER LA GRECE ?* |
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Préambule :
Il est très difficile d'être vraiment convaincu
de la nécessité impérieuse d'attribuer
cette énorme manne monétaire à la
Grèce,
(plus de 250 milliards d'euros attribués par l'Union Européenne depuis 2010, dont plus de 20
% pour la participation de la France).
Cela
a coûté très cher à la France
et le Gouvernement a eu à sa
disposition une justification toute
trouvée pour lever de nouveaux impôts et augmenter encore l'impôt sur le revenu malgré
les déclarations spectaculaires et
répétées, (à l’été 2012), du
Président de la République excluant
toute nouvelle hausse de cet impôt. Eh oui, il l'avait promis ! ...
Depuis
la fin de la seconde guerre
mondiale, l'Histoire mouvementée de la
Grèce contemporaine a engendré des
difficultés de tous ordres : politiques,
économiques, administratives, historiques et
territoriales, et notamment l'éternelle
rivalité avec la Turquie dont
l’enclave turque dans la Thrace
grecque et Chypre sont les deux
principaux enjeux.
Au
début des années 1980, la Grèce,
à l’époque de Monsieur Papandhréou,
éprise de son art de vivre et
de ses traditions, était-elle réellement prête à entrer dans une Europe moderne favorisant l'économie de marché ?
Il
semble facile maintenant d'en douter;
mais en 1981, il n'était pas
aisé de se rendre compte de
la situation économique réelle d'un pays,
quel qu'il soit; il veillait
jalousement sur ses prérogatives même
si le désir d'adhésion à l'Europe
était plus ou moins manifeste, (encouragé par Monsieur Mitterrand).
Ce qui existe en Grèce aujourd'hui est le résultat d'une balance économique déficitaire
depuis plusieurs décennies, depuis son
entrée dans l'ère moderne
vraisemblablement. (Madame Mélina Mercouri le savait bien;
voulait-elle ou pouvait-elle influer dans un sens plus réaliste en ce domaine ... !). L’état économique et financier de l’Europe :
La même situation menace la France
à moyen terme, si ce n'est à
court terme, (peut-être, dans les cinq ans à venir). Notre
pays aussi vit au-dessus de ses
moyens depuis de nombreuses années;
si demain, la France encourrait le
risque d'une faillite d'Etat; qui
l'aiderait ?
La Grèce !… Ou bien, l'Italie, l'Espagne, le Portugal !…
Tous les pays européens,
notamment les pays nordiques, (la Suède, entre autres), également très
soucieux de leur position économique
actuelle, sont menacés d'une situation
analogue. |
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Même l'Allemagne n'est pas à l'abri d'un revirement économique;
et, si elle n’en laisse rien
paraître, elle est cependant toujours
"sur la brèche" depuis sa
réunification, qui est quand même
une bonne chose au plan mondial.
Cette
réunification lui a coûté beaucoup,
énormément; mais paradoxalement, cette
absorption lui indiquait la marche
à suivre et elle s'est débrouillée
toute seule en appliquant des
mesures autoritaires acceptées ou plutôt
supportées par la population qui semble
plus responsable; ni la France, ni
aucun autre pays européen ne s'est
mêlé de sa situation. L’Allemagne,
qui, pour certains Politiques paraît
être le modèle européen à suivre,
était pratiquement rayée de la
liste des pays du Monde, au
sortir de la guerre 39 / 45 et
n’a survécu que par le "plan
Marshall" en ce qui concerne la
République Fédérale d’Allemagne, (R.F.A.),
et aux généreux subsides intéressés
de l’U.R.S.S. pour ce qui est
de la République Démocratique
d’Allemagne, (R.D.A.).
Depuis 2013, l’Allemagne a dû
faire face à certains problèmes
économiques dont le salaire minimum
horaire et l’indemnisation du
chômage n’étaient pas le moindre : le
chômeur était indemnisé à hauteur
de 1 €. de l’heure que s’il
travaillait selon les directives qui
lui étaient transmises. Il
était évident que ce système
ne pouvait plus durer très longtemps et
des mouvements sociaux sont apparus, aboutissant à un ...
"smic allemand" effectif au 1° janvier 2015. Par
ailleurs, des voix s’élèvent déjà
pour contester vigoureusement la
transition énergétique qui sacrifie le
nucléaire au profit du charbon,
lequel n’est pas inépuisable ni
exempt d’incidences sur la santé ... et surtout
la pollution engendrée : 1 tonne de charbon extraite produit près
d'une tonne de CO2 d'après certaines études fiables.
Ce
n’est pas pour rien que Madame
Merkel mène une politique économique
prudente à défaut d’être véritablement
de rigueur; c'est l'une des raisons
qui explique son refus de s'engager
militairement ou financièrement dans la
lutte contre l'islam radical, que
ce soit au Moyen-Orient ou en
Europe de l' Est. Cependant,
pressée par les technocrates de
Bruxelles, sa récente acceptation
d'accueil d'immigrants en masse risque
de lui causer d'importants problèmes
économiques et sociaux dans les
mois à venir. Loin
de participer à l'essor du pays
par le biais d'une main-d'oeuvre à
bon marché, les migrants vont lui
coûter beaucoup plus cher en terme
d'assistanat social, (comme en France). Elle y joue son avenir politique .
Tous
les pays européens ont des
difficultés économiques et il n'est
guère envisageable pour la France
et l’Europe de compter sur le
Royaume Uni, alors…
Apparemment,
la Grèce a pris des mesures
draconiennes pour essayer de diminuer progressivement son endettement, (180 % de son PIB).
Depuis
elle subissait le mécontentement, voire
la colère de son peuple, (des évènements encore récents le prouvent),
mais les résultats s'étant avérés
quelque peu positifs, cette
irritation se calmait graduellement. Arguant
des efforts importants réellement
appliqués
au sujet de la réduction de
son déficit, la Grèce a demandé
à l’Europe, début septembre 2013,
une nouvelle aide monétaire lui
attribuant 10 milliards dès le
début 2014 et demandait encore,
il y a quelques mois, une
autre aide d'un même montant
au titre de 2015. Quelle solution :
Il est évident qu'il fallait aider la Grèce,
(nation pacifiste), mais, peut-être, sans
lui apporter autant d'argent,
alourdissant son passif . |
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Il
était certainement possible de lui
accorder des délais supplémentaires et/ou de lui octroyer des accords commerciaux et/ou industriels privilégiés.
Sans
doute était-il possible de la
sortir provisoirement de l'Union
européenne afin qu'elle s'occupe de
ses affaires efficacement, l'esprit libre
de toute contrainte européenne. C'était
devenu d'actualité et de nouvelles
manifestations se sont déroulées depuis
décembre 2014; des
Politiques grecs d'opposition, outre le
fait qu'ils sont arrivés en tête
dans
les élections
législatives du 25 janvier 2015, ont
réclamé avec force leur
sortie de l' Europe et refusé à
l'automne 2015 le remboursement de
leur
dette. D'autres
possibilités pouvaient éventuellement lui
être offertes, telle une assistance
technique désintéressée par exemple. L'Europe
a d'abord maintenu sa position de
fermeté vis-àvis de la
Grèce, puis a "laissé courir" les
évènements dans un position
d'attente et, pour finir, va subir,
(et la France avec), le passif financier
et
politique de ce pays. Le V.R.A.I., encore une fois, avait bien analysé la situation et déjà proposé en 2013 ce que la Grèce réclame aujourd'hui.
Un proverbe asiatique énonce que : "Si
tu donnes un poisson à un
homme, il mangera un jour; si
tu lui apprends à pêcher, il
mangera toujours."
C'est
dans ce sens qu'il eût été
judicieux d'apporter l'aide à la Grèce .
Un danger permanent:
Il
existe un point dont personne n'a
parlé; il s'agit de l'enclave
turque dans l'Europe continentale,
jouxtant la Bulgarie et la Thrace
grecque.
C'est une "grosse épine dans le pied" de l’Europe et l'une des raisons importantes de l'endettement de la Grèce.
En
effet, hormis Istamboul qui s'étend
sur les deux rives du Bosphore,
la Turquie ne s'occupe que politiquement
de ce petit territoire qui est
une porte largement ouverte à
l'immigration clandestine et au trafic
de drogue et d'armes en Europe
occidentale. Il ne
faut pas oublier que la Turquie
est partie intégrante du "Croissant
d'or", troisième producteur mondial de drogue
derrière le "Triangle d'or" asiatique
et l’ensemble des différents cartels
d'Amérique latine. La Turquie abrite des organisations actives de plusieurs réseaux terroristes islamistes,
(Al Qaïda, AQMI et différents
groupes, le Jihad, les Talibans, entre autres). Ces islamistes purs et durs
essaiment ensuite en Europe occidentale
et "noyautent" les pays, dont la
France et la Belgique, qui
"laissent faire" pour l’ instant.
Autre menace:
Outre
ces terroristes endoctrinés, beaucoup de
ressortissants turcs ou du Moyen
Orient, candidats à l’immigration,
passent également par la Bulgarie,
où la Police ne semble guère
plus efficace qu’en Grèce, car ces
pays savent qu’il ne s’agit que
d’un passage provisoire. Cependant,
lorsque ces immigrés passent par la
Thrace; ils se retrouvent ainsi à la charge presque exclusive de la Grèce sur les plans humanitaire, sanitaire et social notamment. |
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Cet
assistanat, qui lui est imposé, est
aussi l'une des raisons du déficit
économique de la Grèce.
Ce
passage préférentiel par la Thrace
est ancré dans l' esprit des Turcs
car il tient compte également de
la conquête de cette région et
de l'occupation Ottomane remontant au
XV° siècle et la Turquie aimerait
bien reconquérir ces anciens territoires;
c’est la raison principale de sa
demande d’ adhésion à l’Europe et
cette immigration de masse en est
l’un des outils. La
Turquie, très islamisée, se conduit
hypocritement vis-à-vis de l’Europe et
de la France; elle ne veut en
faire partie que pour profiter
pleinement de ses subsides économiques
et financières sans jamais rien apporter d'utile à la Communauté.
Et demain:
Très bientôt, il sera expressément nécessaire de se montrer particulièrement vigilant
quant à l' arrivée sur le
territoire européen continental de cette
invasion turque et moyen-orientale qu'il
faut craindre et qui ne peut
que s'accentuer par la construction
du tunnel ferroviaire et routier
sous le Bosphore commencé en 2013.
On
le constate aisément, la Grèce et
l'Europe ne sont pas au bout
de leurs peines.
IL EST TEMPS DE PARLER V.R.A.I. ---oOo--- 
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