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Cette
Union Européenne a été la plus
grande erreur de la présidence de
Jacques Chirac qui n'aurait jamais
dû céder au lobby bancaire et
aux Etats-Unis en organisant ce
référendum du 29 mai 2005 que
les Français ont rejeté à 55 %
mais qui, par d'adroites manipulations
administratives, économiques et médiatiques,
a été adopté. Même
si des circonstances imprévisibles ont
influé négativement son fonctionnement,
cette Europe n'a jamais concrétisé
les avantages promis; en conséquence,
des Français
de plus en
plus nombreux, mais
aussi des élus
d’autres pays, Autriche,
Grèce, par exemple, le Royaume Uni veut un référendum sur le sujet, tous
posent ouvertement la
question : « Faut-il sortir
de l’Europe ? »
Le sujet
fait polémique mais
revient avec plus
d’insistance tant le
Peuple français constate
avec une grande
inquiétude, (si ce n’est plus), la
dégradation continue de son niveau
de vie depuis
40 ans et
son aggravation extrême
depuis 2012.
Les tenants
du statut-quo, principalement ceux
qui veulent garder
leurs privilèges et
ceux qui espèrent
en obtenir, prédisent
des supposées catastrophes,
économiques entre autres,
pour la France
et les Français
en cas de
sortie de l’Europe.
Le véritable
problème n’est pas
tant la sortie
de l’Europe mais
plutôt l’abandon de
l’Euro.
Il est évident que
le retour au
franc engendrerait des
problèmes économiques tels
une réimpression de billets de banque libellés en franc, une dévaluation importante
créant une réadaptation
de tous les
contrats internationaux économiques,
sociaux, commerciaux, etc … Le retour
au franc aurait
pour effet immédiat,
mais s’échelonnant sur
plusieurs années, de
livrer la France
à la gloutonnerie
des autres banques
centrales mais aussi
des banques privées
qui voudraient imposer arbitrairement une parité
tellement basse par
rapport aux autres
monnaies que la
France ne pourrait
que subir le
chantage des puissances
financières régissant le
reste du Monde
la faisant régresser
économiquement d’une manière
très importante. C'est un
bref aperçu des
conséquences si la
France décidait l'abandon de l’Euro. Mais il s'agit là d'épouvantails destinés
à alarmer la population qui n'est
guère au fait des mécanismes
économiques d'un Etat. La
souveraineté nationale retrouvée permettrait
à la Banque de France de
faire face à tous ces problèmes
car la "planche à billets" existe
toujours, (contrairement à d'autres pays). La France possède actuellement
une énorme réserve pour honorer
tous les contrats internationaux par
le système pré-euro, (euro/dollar, euro/franc
suisse, euro/yen, etc ...). Si la
France quittait l'Europe, il est
évident qu'il faudrait alors exercer
un strict contrôle des changes pour
éviter la fuite des capitaux et
prévoir une redénomination de la
dette publique. Par ailleurs, il est
certains que d'âpres négociations se
dérouleront concernant la parité à
décider pour la nouvelle monnaie
française. Il semble, d'après plusieurs
experts économistes de renommée mondiale,
qu'une bonne base de discussion
situerait la valeur du ... nouveau
franc à 30 % environ au dessous
de la valeur actuelle de l'euro. Ce
n'est pas si simple; ce nouveau
franc à 4,50 environ serait
égal ou supérieur notamment à l'ancien mark allemand
et à l'actuel franc suisse; et c'est
reparti pour une bonne période de
discussions d'épiciers. L'une
des difficultés est représentée par
la double caisse, la double
comptabilité que devra mettre en
place le commerce pendant la durée
d'assimilation du ... "nouveau franc", environ
deux ans. Mais
le problème majeur, comme c'est
souvent le cas, viendrait de la
population elle-même. Lorsque
l'on sait le temps qu'il a
fallu en 1960 pour que les Français
s'adaptent d'abord aux nouveaux francs
et, 40 ans plus tard, à
l'euro; lequel n'est toujours pas
parfaitement assimilé d'ailleurs, notamment
par les personnes âgées. Qu'en sera-t-il alors du retour au franc ? Le
Français étant sentimentalement plus attaché
au franc qu'à l'euro, cette
assimilation et la pratique pourraient
se dérouler dans de meilleures
conditions que par le passé. L'une
des solutions possibles, et sans
doute la seule qui soit rapidement
mise en place, nettement moins
onéreuse et relativement plus facilement
agréée par la population , consiste
à "tamponner" les euros d'une double
valeur faciale, euro/franc selon la
parité retenue
ainsi que cela s'est pratiqué à
l'époque du changement du franc
ancien et nouveau. Au
vu de ce qui précède, il est
aisé de s'apercevoir que la sortie
de l'Europe et l'abandon de l'Euro
ne posent problème que pour une
certaine caste de privilégiés craignant
de perdre avantages, confort,
tranquillité, statut personnel, etc ... Une fois ce constat établi, se pose la véritable question : « Peut-on quitter
l’Europe ? » Sur ce
sujet, les textes
de l’Union Européenne
stipulent que :
Art.
50 : « Tout
Etat membre peut
décider, conformément à
ces règles constitutionnelles, de
se retirer de
l’Union. »
Aucune
condition économique, de
motivation, de durée
de retrait ou
d’utilisation de l’Euro
n’est précisée dans
cet article.
Un texte
complémentaire vient cependant
contrarier la limpidité
de cette rédaction.
Le pays
souhaitant quitter l’Europe
doit présenter un
protocole d’accord au
Conseil européen qui
fixe les modalités
de ce retrait
qui ne devient effectif qu'après accord du
Parlement européen. Il est
facile d’imaginer les
nombreuses barrières administratives, et
sans doute économiques
et financières, qui
pourraient être imposées
au demandeur du
retrait.
Par ailleurs
et bien que
ce ne soit
pas une mesure
généralisée, notamment pour
les pays et
territoires d’outre-mer, le
retrait de l’Europe
entraînerait ipso-facto l’abandon
de l’Euro mais
apparemment des dérogations
pourraient être accordées. Enfin, la
date d’entrée en
vigueur de l’accord
devient immédiatement applicable
mais le délai
de mise en application
peut
être étendu à
deux ans.
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Il ressort
de ce résumé
qu’il s’agit bien
de politique politicienne
servant à valoriser
l’Institution et leurs
serviteurs, (les Parlementaires européens),
et surtout le
système bancaire, au
détriment de l’intérêt
des nations et
de leurs populations.
Depuis 1973,
(loi 73.7 du 3 janvier 1973),
Monsieur Giscard d’Estaing
ayant cédé aux
desideratas des grands groupes financiers,
la France a
commencé alors à perdre
sa souveraineté et
depuis n’est plus maître
de son destin. Cette perte
s’est élargie, au fil des
années et des
différentes présidences, dans
tous les domaines
qui fondaient une
nation forte : économie
et finances, démantèlement
des services publics,
armée et défense
nationale, etc …
D’importantes personnalités
avaient averti les
Ediles nationaux de
ce déclin prévisible :
Vincent Brousseau, ex-économiste à la Banque centrale
européenne, responsable national de l’UPR en charge de l’euro et des questions
monétaires. « Quinze ans à la BCE à Francfort m’ont fait découvrir l’effrayante
impasse de la construction européenne ». Conférence enregistrée à Avignon le 21 mai 2014.
Seuls 51 %
des Français soutiennent
encore l'appartenance de
la France à
l'Union européenne, contre
67 % il y
a dix ans,
selon un sondage
CSA de 2014. Il est
fort possible que
depuis deux ans
la barre des 50
% de
mécontents ait été
dépassée.
L’idée d’une
Europe fraternelle est
née en 1950,
(MMs. Monet et Schuman), et a
évoluée par paliers,
promettant un avenir
radieux pour tout
le monde.
Quelles étaient
ces promesses ?
L’UE finance des projets en France, L’UE a encore des marges de manœuvre économique, L’UE protège des marchés concurrents du reste du monde, L’euro nous amène plus de croissance, L’euro nous protège du chômage, L’euro amène une gestion saine des finances publiques, Conséquences de la sortie de l’euro, Les grands bénéfices attendus du TAFTA, Le TAFTA est une chance pour notre agriculture et notre industrie, Le TAFTA ne remettra pas en cause la puissance étatique et les services
publics, Le libre-échange apporte une prospérité mutuelle, La mondialisation heureuse.
Qu’en est-il aujourd’hui
de tout cela ? Rien ou presque de ce programme théorique n'a été réalisé. Pire, c'est très souvent le contraire qui s'est produit. L'UE
n'a jamais financé des projets
français et a consenti à financer,
en partie seulement, les projets
déjà budgétisés qui deviendraient bénéficiaires à
l'ensemble des pays européens sans
tenir compte des déséquilibres existants
entre les pays membres. L'UE
n' a de marges de manoeuvres
économiques que par l'augmentation
constante de la quote-part versée
par les Etats membres les plus
riches. La
marge économique est beaucoup plus
importante chez chacun des pays
membres les plus riches. L'UE
n'a joué aucun rôle dans la
protection des marchés; au contraire,
c'est Bruxelles qui a ouvert
l'accessibilité européenne aux marchés
mondiaux, (viande du Brésil ou de Nouvelle Zélande par
exemple). L'UE
n'a jamais amené de croissance aux
pays membres malgré une mutualisation
des productions, (politique agricole commune
par exemple), mais qu'en est-il aujourd'hui
du Feder ? (Fonds Européens de Développement
Economique Régional). L'UE
n'a pas protégé du chomage mais
l'a aggravé par l'entrée de
travailleurs étrangers qu"il fallait
embaucher malgré une qualification
professionnelle moindre. L'UE
n'a pas assaini les finances
publiques des Etats membres mais
les a alourdis par des taxes
diverses pesant gravement sur les
économies nationales. Le
TAFTA, (Traité de libre échange avec les Etats-Unis), est
toujours en cours de négociation
mais n'apportera de véritables bénéfices
en réalité qu'aux Etats-Unis. Il
faut rappeler que la France a
accordé son droit de ratifier les
traités à la Commission Européenne,
perdant ainsi sa souveraineté également
dans ce domaine : " Les traités que
la France négocie seront ratifiés
par une loi ... " . Le
TAFTA ne remettra pas en cause la
puissance étatique, est une chance
pour l'agriculture, et l'industrie, apporte
une prospérité mutuelle, etc ... Chaque
Français peut constater chaque jour,
notamment dans son portefeuille, tous
les ... bienfaits de l' Europe. Mais quelle est cette Europe ? |
 |
 | UNE EUROPE REELLE EN DEVENIR ELECTIONS EUROPEENNES
- 25 MAI
2014
Quelle
unanimité ! ! !
Pour la
première fois, tous
les politiques, tous
les journalistes et
autres chroniqueurs de
pacotille, tous les
gens de Gauche
plus ou moins
irresponsables ou irréfléchis
ou pire, ont
enfin réussi à se mettre
d’accord pour reconnaître, du
bout des lèvres,
la victoire du Front national
à ces élections. Dès le
lundi 26 mai,
toutes ces personnes, " politiquement-correctes et bien-pensantes ", font
preuve d’un bel
ensemble pour continuer
à critiquer, voire insulter
un quart de
la population française.
"
C’est un
séisme …(M. Valls et L. Chatel),
C’est une
humiliation …(J.F. Copé), Une gravité extrême …(J. Dray), Je suis
atterré …(T. Mandon), Les Eurodéputés
Frontistes ne serviront
à rien …(J.M. Le Guen), Un deuil pour la France ...(J. Daniel), etc …"
Et cela
a continué le
mardi 27 et
le mercredi 28 …
Tous ces
présentateurs télé, très
bien payés, trop bien
payés, affichent la
plus profonde haine
à peine dissimulée
à l’encontre de
Marine Le Pen et
jouent volontiers les
prédicateurs en prévoyant
son échec. S’ils sont
si sûrs de
cela, pourquoi en parlent-ils
autant ?
Ils ignorent
superbement le vote
démocratique de dimanche
dernier en minimisant
la portée de
la volonté grandissante d’une
partie de la
population française refusant
expressément l'oligarchie actuelle
des gens en
place. Les ministres
en fonction et
les parlementaires de
Gauche s’efforcent, avec
l’aide des médias,
de manipuler et diriger
l’opinion des Françaises
et des Français
qui, ayant réfléchi,
rejoignent certainement
provisoirement le Front
national.
Cependant, le V.R.A.I.
arrive à point
nommé pour accueillir
cette population lassée,
(pour ne pas
dire plus), des
turpitudes et méfaits
commis par des
personnes sensées œuvrer
pour le bien
de la France. En réalité,
ce n’est pas le
souci premier de nos dirigeants actuels.
Le V.R.A.I., avec l’aide
de ces Françaises
et Français, va
offrir à la
France une autre politique
économique, sociale et
administrative telle qu’elle
est souhaitée désormais par
une grande majorité
de la population
française.
En fait,
il ne fallait
pas trop s’étonner
de la gestion calamiteuse de
la France depuis
Mai 2012.
François Hollande,
Ségolène Royal et
d’autres politiciens en
fonction sont issus
de l’E.N.A., (Ecole Nationale d’Administration), promotion Voltaire. Mais Voltaire, philosophe et écrivain contestataire,
ne privilégiait-il pas surtout ses
propres intérêts …
Tiens, donc !
Voilà un parrainage
tout-à-fait approprié …
N‘est-ce pas Voltaire
qui disait :
" Il importe
que le peuple
soit guidé, non
qu’il soit instruit … "
Le problème
est que François
Hollande ne sait
même pas ce
que guider veut
dire …
C’est également
Voltaire qui
s’acharnait à démolir
les convictions religieuses
des Français ; sur
ce point, François
Hollande et sa
clique continuent ce
travail de sape
en imposant l’islamisation de
la France.
Le V.R.A.I.,
quant à lui,
préfère acquérir, avec
les résultats des
élections municipales et
celui des élections
européennes, la conviction
que :
"…
le peuple français
reparaît … "; ainsi
que le disait
en 1943 le
Général De Gaulle qui poursuivait
: " …
Les bonnes gens
qui se figurent,
qu’après tant [...] d’humiliations subies,
notre pays acceptera [...] de conserver le
système [...] feront bien
de dépouiller leurs
illusions; la France
a d’avance choisi
un chemin nouveau …"
Et l' Europe sera placée sur une nouvelle dynamique ...
Depuis
près d'un demi-siècle, les "Politiques"
de tout bord ont annoncé que
tout devait aller beaucoup mieux
après chacune des élections qui se sont déroulées.
Or,
rien n'a jamais changé; le simple
particulier est toujours autant écrasé,
par la "machine étatique" notamment,
mais pas seulement; environ deux
millions de personnes profitent
outrageusement des soixante autres
millions de Français sans aucun
autre motif que le laxisme
gouvernemental qui a permis à ces
gens de s'attribuer pouvoirs, fonctions,
richesse et autoritarisme que seule
l'impunité a érigé en pratique imposée. Pour
preuve, les milliards d'euros avalés
par les constructeurs automobiles, les
banques, le scandale des
stock-options et des retraites-chapeau,
etc…, sans que "Monsieur Tout le
monde" en retire quelque bénéfice.
Est-ce
qu'un employé bénéficie de
stock-options et de primes de départ
pharamineuses ou de retraite-chapeau ? Pourtant,
c'est un salarié comme le sont
ces grands dirigeants d'entreprise ainsi
qu'ils aiment se nommer eux-mêmes…
Beaucoup
de gens pensent et n'osent,
(peu importe les raisons), exprimer ce
qu’ils ressentent vraiment; le
"politiquement correct" imposé par les
médias et les beaux parleurs de
la Télévision les en empêche en
leur faisant endurer une sorte de
culpabilisation. |  |  | L'EUROPE : UNE BELLE IDEE
Il convient de saluer le travail de Monsieur J.
Monnet
qui en a été l'artisan, (aidé en cela par
les Etats-Unis), et de Monsieur
R. Schuman, (qui en a instauré l'application), et
des autres créateurs de
la
C.E.C.A., (Communauté Européenne du
Charbon et de l'Acier), pour une vision futuriste d'une Europe
qui, déjà au début des années
cinquante, devait être prête à
s'intégrer de la meilleure façon
possible dans une mondialisation qui
tôt ou tard devait arriver.
Auparavant,
il avait été créé les Nations
Unis qui reflétait déjà cette prise
de conscience d'une possible mondialisation en devenir. Un
demi-siècle plus tard, l'Europe est
là; mais faisant fi de certaines
études et réflexions, celle-ci n'est
vraisemblablement pas ce que les
peuples concernés auraient voulu qu'elle
soit. Trop d'intérêts particuliers,
trop de conflits partisans ou
corporatistes, trop de tergiversations,
voire des gesticulations politiques,
syndicalistes ou autres ont sacrifié cette belle idée
d'une Europe vivante, humaine, unie,
pacifique, sociale, pour aboutir à
un ersatz d'Europe bancale, à la
fois dédaigneuse et dédaignée, qui
cherche à faire plaisir à tout
le monde et pour finir mécontente
même ceux qui croyaient en elle.
Quel dommage et quel gâchis !
Une
Europe forte, fière, respectueuse et
respectée, qui désire jouer pleinement
son rôle d'équilibre mondial se
devrait d'entreprendre une éventuelle
réflexion sur ce qui suit.
Il n'est pas trop tard… Mais qu’est-ce que cette Europe qui ne paraît pas en être une.
UNE EUROPE EUROPEENNE
Il
semble pour le moins prématuré de
songer à imposer une Europe moderne
car nos gouvernants actuels, de
quelque bord qu'ils soient, se sont
montrés à la fois intéressés pour
leur propre compte et incompétents
pour protéger plus de 60
millions de Français.
*
Alors, comment demain ces mêmes
gouvernants pourront-ils gérer 250, 300
ou 350 millions d'individus ?
L'Europe
doit être... EUROPEENNE; normalement tout
le monde devrait être d' accord sur
ce point.
Cela veut dire Non à la Turquie.
DEFINITIVEMENT NON A L'ADHESION DE LA TURQUIE EN EUROPE.
Ce refus se justifie par les raisons évoquées ci-après :
* Géologiquement et Géographiquement :
La
Turquie appartient à la plaque
tectonique asiatique et non à la
petite plaque européenne, (impossible
apparemment de découper les plaques tectoniques; rassurez-vous
: il s'agit seulement d'une note d'humour)
; mais,
et tout le monde le sait, les
plaques tectoniques bougent et la
plaque asiatique se sépare des
plaques africaine et européenne.
La
Turquie est partie intégrante du
proche orient, c'est une nation
arabe et islamique.
Elle n'est pas de tradition et de culture latine et chrétienne.
* Historiquement et Politiquement :
La Turquie n'a aucune attache historique ou politique avec l'Europe.
Pire
! Elle s'est constamment opposée
aux pays européens, (France, Angleterre,
Italie, entre autres). Lors
de tous les conflits, (même non
armés), du 20 ° siècle, où qu'ils
se soient passés dans le Monde,
(notamment les deux guerres mondiales),
ou à l'occasion de certains
différents politiques, et sans
s'intéresser à la cause elle-même,
la Turquie, en prenant principalement
pour excuse la religion, a
publiquement pris position contre le(s)
pays européen(s) concerné(s). Etant
donné qu’elle abrite des organisations
terroristes, la Turquie a refusé sur son territoire, le
stationnement de
militaires européens, et / ou
américains, forces destinées à lutter
contre le terrorisme en Afghanistan et
en Irak. Cependant,
sous la pression internationale, elle
a acceptée, contrainte et forcée,
de soutenir, (le moins possible), l'action
des Occidentaux contre Daesh.
N'oublions pas que la Turquie avait annexé
pratiquement toute l'Europe centrale
jusqu'à l'Autriche, (Empire ottoman), et
ce qu'elle n'a pu maintenir
militairement, elle veut l'imposer politiquement.
* Financièrement :
Même
dans les temps "tranquilles", la
Turquie ne s' est intéressée aux
pays européens que par intérêt.
Et
aujourd'hui, dans l'optique de cette
future adhésion, la Turquie perçoit
d'énormes subventions, alimentées par les impôts européens
et français en particulier, qui apparaissent à
beaucoup de gens totalement injustifiées
pour le moins et constituent autant
de détournements de fonds qui
seraient bien plus utiles ailleurs,
(santé, emplois, retraites…).
* Culturellement et Socialement :
La
Turquie ne saurait accepter une
Europe majoritairement de race blanche,
chrétienne et protégeant la liberté
d'expression, la démocratie appliquée,
les arts soi-disant profanes, etc...
a / Religion
: Si la Turquie et son Islam
devaient être acceptés, pourquoi pas
demain l'Egypte, la Libye et
après-demain tout le Maghreb; puis
les religions animistes d'Afrique noire,
puis le Bouddhisme et toutes les
religions extrême-orientales... Où est l'Europe ? |  |  | b / Art de vivre et Education
: Si la Turquie et son Islam
étaient acceptés, demain les petits
enfants européens :
- devront porter le voile à
l'école, (pour les filles),
- apprendre la
langue arabe comme langue maternelle,
(c'est déjà ce qui se produit dans beaucoup d'écoles
publiques),
- et, les
garçons, devenus adultes, seraient tenus
d'aller à la Mosquée tous les
vendredis après-midi,
- etc... Est-ce vraiment une éducation européenne ? Toutes
les femmes, qui sont encore plus
jolies au printemps, sortiront, quand elles en auraient eu l'autorisation,
et accompagnées, voilées jusqu'aux yeux
en portant un linceul noir. c / Le commerce
: Ces échoppes qui amusent le
touriste mais manquent totalement des
plus élémentaires hygiène et sécurité
alimentaires, entre autres, (égorgement en pleine rue d'animaux destinés à l'alimentation humaine), etc… etc… etc… * Humainement et Sportivement :
L'Européen
pourra-t-il tranquillement visiter, se
promener et faire du shopping sans
craindre une rafale de mitraillette,
un attentat à la bombe, voire la simple agression physique, (Ankara, Istambul).
Deux exemples cités de mémoire :
Il
y a quelques années, des
croisiéristes européens, (dont beaucoup de Français), ont été très
violemment agressés et brutalisés par
le personnel turc. En
2008, les Turcs ont refait payer
leur séjour à des touristes
européens, (dont plusieurs Français encore), sous menace de les jeter
à la rue, suite à un conflit
avec le voyagiste. Ces touristes n'étaient pour rien dans ce problème mais ils ont été pris en otage par les Turcs.
De
quelle sécurité, le passant, le
voyageur, (compagnies aériennes secondaires non conformes mais, malgré tout,
acceptées par protectionnisme de complaisance), pourra-t-il bénéficier ?
Est-ce vraiment cet art de vivre que l'on veut pour l'Europe ?
Il y aurait une mesure à prendre le plus rapidement possible :
Il serait, pour le moins, opportun d'exclure définitivement la Turquie du sport européen;
tous les sports, qu'ils soient
individuels ou collectifs;
(sans
doute, resterait-elle participante au sport mondial mais
serait rattachée à une fédération moyenne -orientale). Le
racisme et la violence y sont
présents constamment;
(des blessés plus ou moins graves, quelquefois des morts),
lors de matchs de football
par exemple, sans parler de
leur chantage constant visant à
favoriser la Turquie dans toutes
les compétitions internationales. Comportement identique de tous les pays arabes ou africains qui prétendent un racisme exacerbé
à leur encontre sitôt qu’une
décision, quelle qu’elle soit, leur
est, de leur point de vue,
défavorable . Les
exactions anti-européennes de la Turquie
peuvent se multiplier facilement; depuis
les mesures politiques jusqu'aux simples
faits divers, tout prouve cet état
de fait. Reste un dernier point à traiter :
Le sort de l'enclave turque dans la Thrace européenne.
Outre le statu quo actuel, il
conviendrait d'étudier les solutions
qui auraient été possibles parmi d'autres peut-être. 1 ) La Grèce aurait pu nationaliser cette enclave, (22 000 km², 1/6° de son territoire environ), en laissant le choix par référendum
aux habitants de devenir Grecs ou
rester Turcs. Ceux
qui auraient choisi de rester Turcs
pouvaient, sous une certaine période de
temps, retourner en Turquie…
"continentale". C'est,
à peu de choses près, ce qui
s'est passé avec la Sarre après
la deuxième guerre mondiale. (1955). Aujourd’hui elle
n’a plus les moyens, notamment
économiques, de réaliser une telle procédure, sans oublier la "bagarre"
constante avec la Turquie au
sujet de Chypre.
2
) L'Europe pouvait étudier la
possibilité d'un "rachat" éventuel à
la Turquie de ce territoire ancré
en Europe et mettre en place
un
processus de protectorat territorial,
administratif et économique et proposer
ce référendum évoqué ci-dessus. L'Europe
pouvait aussi permettre à ce
territoire de devenir une nation
indépendante avec, dans un premier
temps, une administration allégée,
finances et sécurité notamment pourraient
être l'objet d' une assistance de
l'Europe. Ce
qui correspond à une scission
territoriale semblable à celle du
Pakistan et de l'Inde.
3 ) Ce
territoire restait turc mais, dans
ce cas, et comme indiqué ci-avant,
la Turquie toute entière serait
définitivement exclue de l'Europe.
De tout cela, il ressort une seule conduite possible :
Jamais de Turquie en Europe , ni aucun autre pays arabe d' ailleurs.
Tout
en se posant la question de
son utilité et de l'intérêt
pour l'Europe, un partenariat économico-
commercial prudent, intéressant les pays
du pourtour de la Méditerranée,
suffit amplement à normaliser
les relations entre l'Europe et ce
(ou ces) pays,
(projet proposé par la France, il y a quelques années).
Cependant,
il conviendrait de limiter cette
future entité aux seuls pays
possédant une façade maritime
méditerranéenne et non, comme certains
Politiques l’ont déjà proposé, de
l'étendre à tout le Moyen-Orient et l'Afrique orientale, (Soudan,
Ethiopîe). Ces pays-là peuvent faire l'objet d'autres accords et contrats.
Pour
finir et volontairement, ce document
fait abstraction de l'enlèvement de
personnes, de la drogue, du
terrorisme, du trafic d'armes, dont la Turquie fait son
commerce quotidien. |  |  | CONCLUSION
Une Europe européenne ! Oui bien sûr ... Mais
aussi était-il vraiment nécessaire de
vouloir immédiatement un élargissement
aussi large en accueillant en
son sein autant de pays qui
n'étaient pas prêts à tous points
de vue à faire partie intégrante
de cette entité ! Le
V.R.A.I. a toujours considéré que
la création de l' Europe aurait dû
relever de la compétence des six
pays fondateurs qui se seraient
engagés dans un processus obligatoire
d'organisation et d'harmonisation
administrative et législative, fiscale,
économique et monétaire, commerciale et
industrielle, énergétique et environnementale,
sociale et familiale, etc ... avant
toute idée de partenariat, d'ouverture,
de développement. Cela aurait été beaucoup plus intelligent et constructif. Il
était déjà difficile de trouver un
accord à six; comment fera-t-on
demain pour travailler dans cet
esprit à 28, peut-être 29 ou 30,
si la France accepte les pays
islamiques des Balkans et de l'
Europe de l' Est et surtout la
Turquie. La France a perdu son leadership naturel dans la construction européenne;
en conséquence, elle devrait "faire
un peu le ménage chez elle"
et inciter quelques autres nations
européennes à en faire autant.
C'est le sens donné aux éléments mentionnés ci-après pour mémoire.
Serait-il
possible, pour une fois, de faire
abstraction des divergences politiques et
préférer œuvrer dans l'intérêt général.De
nombreux autres sujets vont intéresser
l'Europe et bien évidemment la France :
Le
réchauffement climatique, les besoins
énergétiques, la pénurie d'eau douce,
l'agriculture et l’alimentation, (que
mangeront demain les Européens et surtout pourront-ils manger ?), mais aussi
et surtout l'immigration clandestine…
Faudrait-il
penser peut-être à unifier l’Europe
en employant une seule "langue
européenne", tant il sera important
que, demain, tout le monde parle
le même langage et surtout se
comprenne; ce sera le signe le
plus marquant et universel de
l'unité de l'Europe. Que
de disputes en perspectives car le
français arrive largement en tête
dans le choix éventuel de cette
langue unitaire. (seule langue suffisamment forte et utilisée
mondialement pour rééquilibrer l'usage abusif de l'anglais), mais
un autre problème apparaît immédiatement
qui a pour nom la Russie;
comment réagirait-elle à cette éventualité
?
Quelle sera la place de l'Europe face aux puissances montantes, (pays émergeants) ?
Tout
cela et bien d' autres choses
encore,
(la Défense ou encore une simplification drastique de la fiscalité en réformant
profondément l'impôt sur les
sociétés par exemple), constituent
autant de problèmes à résoudre de
la meilleure manière possible pour
l'Europe mais surtout pour la
France qui
a besoin de travailler très
sérieusement sur son devenir national
et européen; et cela sans
atermoiements ni états d'âme.
La
simplification territoriale par exemple,
(dont il est traité par ailleurs),
représente un chantier qui ne peut
plus attendre; aujourd'hui,
l'unité administrative de base de
la France devrait être la commune
qui verrait en l'occurrence ses
pouvoirs renforcés mais pas le
Département qui est une entité
nommée et non élue.
Quelques-uns
de ces éléments ont été déjà
traités dans le présent programme
mais bien d'autres sujets d'étude
existent.
Alors,
vouloir construire l'Europe, c'est bien,
utile et nécessaire; mais ne
faudrait-il pas aussi, et en même
temps, finir de bâtir la France du 21° siècle ?
IL EST TEMPS DE PARLER V.R.A.I. ---oOo--- 
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